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Cette définition n'est pas dans le dictionnaire, et pourtant, c'est bien cela dont il s'agit. Lors de ma visite à la médiathèque de Redon, on m'a donné et redonné.
Des sourires, du temps, des bonnes questions, des idées, de l'énergie, de l'écoute, une formidable dose d'optimisme et d'altruisme et des pommes au four.
En février, j'ai eu la grande chance de participer au salon du livre de Casablanca. J'ai pris une grande dose d'enthousiasme des lecteurs, d'amitié, d'hospitalité... pis aussi de soleil, de ciel bleu et de douceur.
Tout cela grâce à une super directrice d'école, les éditions Auzou, et des membres de l'Institut français très motivés. Un grand merci à tous !
Allez savoir pourquoi, quand on m'a proposé de quitter trois jours la grisaille de Paris en novembre pour aller à la rencontre des enfants et lecteurs algériens, j'ai dit oui.
Il faut dire que Caroline Rousseau, des éditions Auzou, avait envoyé notre Anatole Bristol en éclaireur et qu'il avait été très bien accueilli. C'est un éclaireur de confiance !
Quand en plus, c'est l'équipe de l'institut français d'Alger qui s'occupe de vous, il n'y a plus qu'à se laisser guider et apprécier.
Akwaba est le seul mot que j'ai appris en ivoirien. Il a attiré mon oreille parce qu'il sonne un peu comme aquabike (on ne se refait pas.)
Et il résume parfaitement mon extraordinaire séjour à Abidjan, pour le Salon du livre, en mai dernier.
Akwaba signifie bienvenue.
Mon livre "Echange petit frère contre poisson rouge", paru au livre de poche junior, a remporté le prix Opalivres.
Les 9 et 10 mai, j'ai eu le grand plaisir de rencontrer 24 classes (oui, 24 !) dans la magnifique bibliothèque de la vieille ville de Boulogne-sur-mer.
Déjà là, c'est top, non ?
En fait, c'était encore plus fort que ça.