Lundi 14 décembre, j'ai délaissé mes personnages et mes histoires pour retrouver des amis à l'école Roux Calmette aux Mureaux.
Ecoles - Page 2
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Mureaux les coeurs !
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Ecole Sainte Philomène à Hagueneau : quand mon livre prend vie
Février 2014 : je pars pour l'Alsace. Deux jours de rencontres avec les élèves du collège et du primaire de Sainte Philomène à Hagueneau. Je me réjouis: je sais que les échanges sur mon livre Sauve qui peut, qui raconte une émission de téléréalité où les candidats sont des enfants sont toujours vivants et riches.
Et en effet, c'est le cas.
Mais à Hagueneau, ils ne se sont pas contentés des mots; ils ont mis mon livre en images.Dès le palier, le ton était donné. Embarquement immédiat !
Des affiches rappelaient ma venue.
Pas de jaloux : tous mes livres étaient de la partie !
Barbie et ses amis ont accepté d'incarner les Zapataux de mon récit.
Même si c'était acrobatique !
Les élèves avaient conçu plusieurs versions de l'île où se déroule le jeu.
Je vous laisse admirer les détails !
Tout un travail d'étude a été mené sur la télé-réalité. Les enfants ont compté le nombre d'émissions diffusées uniquement cette semaine-là. Impressionnant...
Un élève a même réalisé un power-point pour ma venue.
Il est plus doué que moi en informatique !
Après cela, pas difficile d'avoir des échanges passionnés et passionnants !!!
Un grand grand merci aux enfants et à leurs enseignants. (Même à celle qui n'a pas aimé les personnages de mon livre :) )
Et un mot particulier pour Marie-Hélène, la fabuleuse prof documentaliste. Merci pour ton accueil ta passion, ton implication, ta gentillesse...
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Les Zapataux gagnants !
A force, ça pourrait faire crâneuse, non ? Sauf que cette fois, je suis très heureuse et fière de vous annoncer que c'est "Sauve qui peut !" qui a remporté le prix Graines de Lecteurs 2010 de l'agglomération de Pau.
Je suis très attachée (eh ouais, ça paraît bizarre :) ) aux Zapataux, les jeunes héros de ce livre, et très heureusue en plus d'aller découvrir cette ville que je ne connais pas en juin prochain. -
Le Prix des Drôles et des Drôlesse
Vous connaissez le proverbe : on lave son linge sale en famille ? Je suis partie pour Saujon mercredi dernier avec dans ma valise un tube de crème qui a eu la bonne idée de se renverser et de se répandre sur mes chemises et mes T-shirts. J’ai découvert la catastrophe en arrivant à l’hôtel. Panique à bord ! Heureusement, Carine, la très sympathique employée du service culturel qui était venue m’accueillir, avait insisté pour me laisser sa carte de visite. « Au cas où », avait-elle précisé. Le « cahou » ne s’est pas fait attendre. Carine est revenue tout de suite, parce que je me suis sentie suffisamment à l’aise pour la déranger…
Dès le premier soir, je lavais mon linge dans cette famille qui m’a adoptée pendant 4 jours. Une famille de « drôles et de drôlesse », du même nom que le salon qui me recevait. Pendant deux jours, j’ai rencontré des enfants, nous avons échangé sur mes livres : ceux qui étaient publiés, ceux qui étaient écrits, et ceux qui étaient imaginés. Avec les élèves de sixième de Saint-Palais, nous avons même choisi le prénom de la future méchante. Il faudra vous méfiez d’Angèle.
Samedi, les enfants m’ont remis le prix spécial des drôles et des drôlesses 2010 pour le livre qu’il ne faut surtout surtout surtout pas lire. Une fois encore, j’ai eu la gorge serrée te les larmes aux yeux. Non, je ne suis pas lassée des félicitations que reçoit encore mon aîné.
Je rentre avec en tête beaucoup d’images de ce voyage. Celle d’un sympathique ex-baba cool, Roland Tardy, conteur et chef d’orchestre de cette joyeuse manifestation. Celle d’une balade au bord de la Seudre, un peu avant minuit, en compagnie d’Amélie, Laurent et Sergei, qui en trois soirées m’en ont appris sur le métier d’auteur bien plus que j’avais pu en découvrir en trois ans. Je rentre, grâce à eux tous, avec dans le bout des doigts, une irrésistible envie de titiller le clavier.
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L'aventure de mes rêves
Petite note juste pour vous faire pâlir de jalousie. Régulièrement, quand je vais dans les écoles, je repars avec un livre "rien que pour moi". Chaque fois, il porte le même titre : "L'aventure de tes rêves", mais ce n'est jamais le même. Il y a autant d'histoires qu'il y a eu d'élèves, qu'il y a eu d'enfants qui ont lu les aventures de Max. Chaque fois, je les lis toutes. Souvent, je me demande "c'est qui celui-là?" quand un auteur en herbe fait allusion à une vedette. Has been, déjà. A chaque fois, je me régale. Et immanquablement, je me pose cette question : qu'est-ce que moi j'aurais raconté à leur âge ? Ce serait l'histoire d'une fille qui écrit une histoire sur un cahier...