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On ne peut quand même pas en vouloir à la lune

« En attendant qu’il me prête les siennes

Mon ange

J’échange ma plume contre les tiennes

Mésange

Tu pourras toucher mes droits d’auteur

Moi je prendrai de la hauteur »

 

Michel Jonasz, "Mésange"

 

 

Heureux hasard, c'est aujourd'hui, alors que j'ai rendez-vous ce soir avec Jonasz et ses mélodies cette fois, que j'ai mis le point final à mon deuxième roman pour adolescents.

Point final au premier jet, dois-je préciser. Maintenant commence la danse des relectures, modifications et corrections, allers-retours avec mes précieuses liseuses.

Jusqu'à ce matin, le texte s'appellait "Malo". Mais j'avais senti que ça n'allait pas, ce n'était pas suffisant. Le dernier chapitre m'a offert le titre : "On ne peut quand même pas en vouloir à la lune". Ça, je l'ai compris il y a très peu de temps.

 

Pour finir, un clin d'oeil très affectueux à Geneviève Bonnet, à Carine Jaquinod et à leurs classes de secondes de 2009/2010. C'est grâce à notre rencontre que j'ai enfin écrit les premières lignes... avant de les effacer ;)

Commentaires

  • " Avant de les effacer " ?! comment ça ?!
    Grosses bises Sophie,
    N.

  • Oui, j'ai enlevé le prologue, parce que ça donnait trop d'infos dès le début finalement !

  • D'accord, tu nous tiens au courant, évidemment ;-)

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