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  • Crâneur, va !

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    Bon, d'accord, "Le Livre qu'il ne faut surtout surtout surtout pas lire" apparaît dans la bibliothèque idéale des 6/8 ans, tranche des 8 ans bien sûr !, de la FNAC.

    Certes, il est présenté sur leur immmeeennnnssse dépliant entre "Le petit Nicolas" et "Les histoires Pressées" de Bernard Friot.

    Mais ce n'est vraiment pas une raison pour qu'Augustin Kacerol la ramène comme ça, parce que ce n'est même pas lui le héros de l'histoire !

    Max et moi, on la joue beaucoup plus modestes. Et nous sommes juste super heureux de cette aventure qui continue...

    Trois ans déjà !

    Merci...

  • Mon 40 ème ornithorynque

    IMG_3945.JPG Ce weekend, j'ai fêté avec mes amis mes 40 ans. C'était une très belle soirée, ils étaient presque (Gilles, Cécile, Béné, Kiki, je vous embrasse) tous là et nous avons célébré comme il se doit l'événement : vieille trentenaire, je suis maintenant jeune quarantenaire.

    Je n'ai aucun état d'âme le jour de mon anniversaire, je ne guette pas les rides : les complexes sont ailleurs. Mais j'ai des amies qui s'en préoccupent. A elles, et à toutes celles que j'aime et qui auront 40 ans, j'offrirai désormais ce super livre de Cécile Charte : "Joyeux ornithorynque". L'histoire d'une famille qui se réveille dans l'angoisse parce qu'aujourd'hui... 4 juin... La maman qui déteste les anniversaires a 40 ans. Le papa va devoir improviser pour éviter le drame. La différence des uns fait la richesse des autres, et la famille n'oubliera pas cet anniversaire qui avait pourtant si mal commencé.

    Ce petit roman est écrit dans un style très vivant, actuel sans être racoleur. J'ai passé cette étrange journée assise auprès de Mado, la jeune narratrice, et je n'ai eu envie de me lever que pour danser. J'ai retrouvé toute la finesse et la sensibilité de Cécile (déjà appréciées dans "Poil au nez" sur lequel je ferai bientôt un billet), j'y ai perçu encore l'indéfectible optimisme de ses héros, malgré les situations difficiles.

    Alors oui, je peux l'écrire, j'aurais pu être jalouse de Cécile, tellement ses livres sont bons. Mais ce n'est pas possible, pas après l'avoir rencontrée. Quand je ferme un de ses livres, j'ai envie de retourner dans mes pages d'écriture, parce qu'elle et moi faisons le plus beau métier du monde, en attendant ses prochains textes et mes prochaines lectures.