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  • Les Zapataux gagnants !

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    force, ça pourrait faire crâneuse, non ? Sauf que cette fois, je suis très heureuse et fière de vous annoncer que c'est "Sauve qui peut !" qui a remporté le prix Graines de Lecteurs 2010 de l'agglomération de Pau.
    Je suis très attachée (eh ouais, ça paraît bizarre :) ) aux Zapataux, les jeunes héros de ce livre, et très heureusue en plus d'aller découvrir cette ville que je ne connais pas en juin prochain.

  • Le Prix des Drôles et des Drôlesse

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    Vous connaissez le proverbe : on lave son linge sale en famille ? Je suis partie pour Saujon mercredi dernier avec dans ma valise un tube de crème qui a eu la bonne idée de se renverser et de se répandre sur mes chemises et mes T-shirts. J’ai découvert la catastrophe en arrivant à l’hôtel. Panique à bord ! Heureusement, Carine, la très sympathique employée du service culturel qui était venue m’accueillir, avait insisté pour me laisser sa carte de visite. « Au cas où », avait-elle précisé. Le « cahou » ne s’est pas fait attendre. Carine est revenue tout de suite, parce que je me suis sentie suffisamment à l’aise pour la déranger…

    Dès le premier soir, je lavais mon linge dans cette famille qui m’a adoptée pendant 4 jours. Une famille de « drôles et de drôlesse », du même nom que le salon qui me recevait. Pendant deux jours, j’ai rencontré des enfants, nous avons échangé sur mes livres : ceux qui étaient publiés, ceux qui étaient écrits, et ceux qui étaient imaginés. Avec les élèves de sixième de Saint-Palais, nous avons même choisi le prénom de la future méchante. Il faudra vous méfiez d’Angèle.

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    Samedi, les enfants m’ont remis le prix spécial des drôles et des drôlesses 2010 pour le livre qu’il ne faut surtout surtout surtout pas lire. Une fois encore, j’ai eu la gorge serrée te les larmes aux yeux. Non, je ne suis pas lassée des félicitations que reçoit encore mon aîné.

    Je rentre avec en tête beaucoup d’images de ce voyage. Celle d’un sympathique ex-baba cool, Roland Tardy, conteur et chef d’orchestre de cette joyeuse manifestation. Celle d’une balade au bord de la Seudre, un peu avant minuit, en compagnie d’Amélie, Laurent et Sergei, qui en trois soirées m’en ont appris sur le métier d’auteur bien plus que j’avais pu en découvrir en trois ans. Je rentre, grâce à eux tous, avec dans le bout des doigts, une irrésistible envie de titiller le clavier.